Les femmes de la Chambre de commerce célèbrent la journée de la femme. 

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Ce vendredi 8 mars 2024 marquait la journée internationale de la femme dans le monde. À cette occasion, les femmes de la Chambre de commerce, de l’industrie et de de l’agriculture de la région de Thiès n’ont pas manqué de participer à la célébration de la journée. 
Cet événement marque la deuxième édition de la célébration de la journée internationale de la femme organisée par la gent féminine de cette structure. 
La rencontre a été une opportunité pour les femmes de faire la genèse de la journée de la femme :

Histoire de la Journée Internationale des Femmes

Passé et Présent

La Journée Internationale des Femmes commémore la lutte des femmes pour leur participation, au pied d’égalité avec les hommes, dans la société et dans leur développement intégral en tant que personnes.

En 1977, lors de l’Assemblée Générale des Nations Unies a été proclamé la Journée Internationale des Droits des Femmes et de Paix Internationale.

La Journée Internationale des Femmes a été observée depuis le début des années 1900, le moment de la grande expansion et des turbulences dans le monde industrialisé qui a connu une grande croissance démographique et la montée des idéologies radicales.

1908
Une grande agitation et débat critique se déroulait parmi les femmes. L’oppression et inégalité des femmes incitaient les femmes à devenir plus vocales et actives dans la campagne pour le changement.

Puis, en 1908, 15 000 femmes ont défilé à travers la Cité de New York, demandant moins des heures [de travail], meilleurs salaires et droits de vote.

1909
Conformément à la déclaration par le Parti Socialiste en Amérique, la première Journée Nationale de la Femme [National Woman Day] (JNF/NWD) a été observée aux États-Unis le 28 février. Les femmes ont continué de célébrer NWD le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.

1910
En 1910, une deuxième Conférence Internationale des Femmes Travailleuses s’est tenue à Copenhague. Une femme nommée Clara Zetkin (cheftaine du ‘Bureau de la Femme’ du Parti Social-Démocrate en Allemagne) a présenté l’idée de la Journée Internationale des Femmes. Elle a proposé que chaque année dans tous les pays,  il devrait y avoir une célébration le même jour de la – Journée des Femmes – pour faire une pression pour leurs demandes.

La Conférence de plus de 100 femmes de 17 pays, représentant les syndicats, partis socialistes, clubs des femmes travailleuses et y compris les trois premières femmes élues au Parlement Finlandais, ont salué la suggestion de Zetkin à l’unanimité et donc la Journée Internationale des Femmes a été le résultat.

1911
À la suite de la décision adoptée à Copenhague en 1911, la Journée Internationale des Femmes (JIF) a été honorée pour la première fois en Autriche, Danemark, Allemagne et en Suisse le 19 mars.

Plus d’un million des femmes et des hommes ont participé aux manifestations de la JIF faisant la campagne pour les droits des femmes au travail, de voter, d’être formées, de tenir le bureau publique et de mettre fin à la discrimination.

Cependant, moins d’une semaine plus tard, le 25 mars, l’incendie tragique de « Feu Triangulaire » à la Cité de New York a coûté la vie de plus de 140 femmes travailleuses, la plupart d’entre elles les immigrés italiennes et juives.

Cet événement catastrophique a attiré beaucoup d’attention aux conditions de travail et de la législation du travail aux Etats-Unis qui était devenu une priorité des événements ultérieurs de la Journée Internationale des Femmes.

1913-1914
A la veille de la première Guerre Mondiale, en faisant la campagne pour la paix, les femmes russes observaient leur première Journée Internationale des Femmes le dernier Dimanche de février 1913.

En 1913 la suite aux discussions, Journée Internationale des Femmes a été transférée au 8 mars et ce jour est resté depuis la date globale de la Journée Internationale des Femmes.

En 1914, des autres femmes en Europe ont tenu une rallie pour faire la campagne contre la guerre et exprimer la solidarité féminine.

1917
Le dernier Dimanche de Février, les femmes russes ont entamé une grève pour « Pain et Paix [bread and peace] » en réaction à la mort de plus 2 millions des soldats russes dans la guerre.

Opposées par les dirigeants politiques, les femmes ont continué à grever jusqu’à ce que quatre jours plus tard, le Czar fut forcé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordée aux femmes droit de vote.

La date du commencement de la grève des femmes était dimanche le 23 février sur le calendrier de Julian alors en usage en Russie.

Ce jour sur le calendrier Grégorien utilisé ailleurs était le 8 mars.

1918 – 1999
Depuis sa naissance dans le mouvement socialiste, la Journée Internationale des Femmes a grandi pour devenir une journée mondiale de la reconnaissance et la célébration dans les pays développés et comme dans les pays développement. Pendant des décennies, JIF a grandie de force en force chaque année.

Pendant de nombreuses années l’Organisation des Nations Unies a tenu une conférence annuelle de la JIF pour coordonner les efforts internationaux des droits des femmes et la participation aux processus sociaux, politiques et économiques. 1975 a été désigné comme ‘ Année Internationale de la Femme‘ par les Nations Unies. Les organisations féminines et les gouvernements du monde entier ont également observé la JIF le 8 mars de chaque année en organisant des manifestations de grande envergure qui honorent la promotion de la femme et tout en rappelant avec diligence la vigilance continue et l’action requise pour assurer que l’égalité des femmes est acquise et maintenue dans tous les aspects de la vie.

2000 et au-delà
La JIF est désormais un jour férié officiel en Afghanistan, Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Burkina Faso, Cambodge, Chine (pour les femmes seulement), Cuba, Géorgie, Guinée-Bissau, Érythrée, Kazakhstan, Kirghizistan, Laos, Madagascar (pour les femmes seulement), Moldavie, Mongolie, Monténégro, Népal (pour femmes seulement), Russie, Tadjikistan, Turkménistan, Ouganda, Ukraine, Ouzbékistan, Vietnam et en Zambie. La tradition considère que les hommes honorent leurs mères, épouses, copines, collègues, etc. avec des fleurs et petits cadeaux. Dans certains pays la JIF a le statut équivalent de la Fête des Mères où les enfants donnent des petits cadeaux à leurs mères et grands-mères.

Le nouveau millénaire a été témoin d’un changement important et un changement d’attitude à la fois féminine et des pensées de la société au sujet de l’égalité et l’émancipation des femmes.

Beau nombre de la jeune génération sent que « toutes les batailles ont été gagnées pour les femmes » tandis que de nombreuses féministes depuis les années 1970 ne connaissent très bien la longévité et la complexité ancrée du patriarcat.

Avec plus de femmes dans la salle de conférence, plus d’égalité en droits législatifs et une augmentation de la masse critique de visibilité des femmes comme modèles de rôle impressionnantes dans tous les aspects de la vie, on pourrait penser que les femmes ont acquis une égalité réelle.

Un fait malheureux est que femmes ne sont pas encore également payées que leurs homologues masculins, les femmes ne sont pas toujours présentes en nombre égal dans les affaires ou la politique, et dans le monde, l’éducation, santé des femmes et la violence contre les femmes est pire que celui des hommes.

Cependant, des grandes améliorations ont été faites. Nous avons des femmes astronautes aussi bien des premiers ministres, les écolières sont accueillies dans l’Université, les femmes peuvent travailler, avoir une famille, les femmes ont de véritables choix.

Et donc le ton et la nature de la JIF a, au cours des dernières années, évoluée d’être un rappel sur les négatifs à une célébration des positifs.

Chaque année le 8 mars, des milliers des événements prennent lieux partout dans le monde pour inspirer les femmes et célébrer les réalisations.

Un réseau mondial de la richesse et la diversité des activités locales relie les femmes de partout dans le monde allant des rassemblements politiques, conférences des affaires, activités gouvernementales et des évènements de réseautage à travers les marchés artisanaux locaux des femmes, les représentations théâtrales, défilés de mode, etc.

Loi sur la parité au Sénégal : une expérience « réussie » de luttes féminines

Le 1er juillet 2012, le Sénégal a fait un pas important sur le chemin de l’égalité en faisant passer la présence des femmes à l’Assemblée de 33 à 64 députées.

Cette formidable avancée est l’aboutissement d’un long combat. Individuellement ou collectivement, en privé ou en public, les femmes de plusieurs générations, issues de partis politiques, de syndicats ou d’organisations de la société civile, ont chacune pris part à la lutte pour le respect de leurs droits ; chaque génération accrochant son maillon à la chaîne.

Toutefois, les groupes hostiles à la parité sont encore présents et les détracteurs ne manquent pas, par conviction ou par opportunisme. Ils sont dans tous les milieux : politique, universitaires et religieux.

Le processus politique qui a conduit à cette loi sur la parité, avec pour objectif l’égale participation des femmes et des hommes aux instances électives et semi-électives, vise, à terme, une modification des rapports entre les deux sexes, en vue d’atteindre l’égalité entre les hommes et les femmes.

Ce tournant décisif dans l’histoire du Sénégal est le fruit des luttes de plusieurs générations, arrivées à maturité.

Grâce à la loi sur la parité votée le 14 mai 2010 par l’Assemblée nationale, adoptée par le Sénat le 19 mai et promulguée le 28 mai 2010, le Sénégal s’est retrouvé depuis 2012 avec 64 femmes sur 150 députés à l’Assemblée, soit 42,7%

Pour comprendre comment le Sénégal a réussi à mettre en œuvre la parité intégrale, il faut retourner à son histoire et comprendre la place des femmes dans le système social, avant l’arrivée d’idéologies portées par les religions étrangères et la colonisation française.

En effet, la colonisation a voulu transposer un modèle qui consacre l’exclusion des femmes de l’espace politique avec la loi salique au XIVe siècle, qui n’avait rien à voir avec les réalités locales. Mais le substrat culturel qui demeure en lame de fond dans la société a permis aux Sénégalaises de faire face à la volonté du pouvoir colonial de les enfermer dans l’espace privé, au même titre que les Françaises.

La lutte pour la conquête des droits et des libertés

Les femmes ont de tout temps été au cœur de la politique dans l’espace social sénégalais et le fil de la résistance nationale a été tenu d’un bout à l’autre par des femmes.

C’est la reine du Waalo qui a ouvert la confrontation avec le Français Faidherbe et qui a été la première force de résistance que le colonisateur eut à affronter en 1855, avec à sa tête une femme, la reine Ndaté Yalla Mbodj.

C’est Aline Sitoë Diatta, prêtresse de Casamance, qui l’a clôturée au Sud, pour avoir été la dernière résistante nationale déportée en 1943 à Tombouctou, au Mali, par le pouvoir colonial.

Après avoir conquis le Sénégal, le colonisateur prit un ensemble de mesures politiques consacrant le recul de la femme.

En stipulant qu’elle devait se soumettre à l’ordre colonial et à son mari, il lui enlevait tout droit de représentation mais aussi l’accès à la propriété. Et s’appuyant sur le code napoléon, toute propriété fut quasi-automatiquement attribuée au chef de famille qui est « naturellement » le mari.

La politique coloniale ouvertement sexiste a limité l’accès des femmes à l’éducation et à la formation.

En 1906, il y avait 29 écoles dispensant un enseignement aux garçons et qui comptaient 3 252 élèves, contre quatre écoles pour les filles (40 élèves).

Au niveau de la formation professionnelle, l’École Normale William Ponty, pépinière des futurs cadres et chefs d’État africains, fut ouverte en 1910, et c’est seulement en 1939 que fut fondée une section féminine, soit 29 ans plus tard.

Les Sénégalaises ont su transcender leurs divergences sociales et politiques et unir leurs forces pour un objectif qui dépasse leurs appartenances de classe, d’ethnie, de caste, etc., et qui renvoie à leur statut de femmes colonisées. Ce fut notamment le cas de deux femmes, Ndaté Yala Fall et Soukeyna Konaré, qui appartenaient à deux partis adverses mais qui décidèrent de joindre leurs efforts pour faire face à l’autorité coloniale.

La politique coloniale ouvertement sexiste a limité l’accès des femmes à l’éducation et à la formation

Après s’être mobilisées en 1945 pour arracher le droit de vote, elles se sont impliquées dans la lutte pour les indépendances. Certaines femmes membres du premier parti communiste, le Parti africain pour l’indépendance (PAI), se sont particulièrement illustrées.

Elles mettent en place, en 1952, l’Union des Femmes Sénégalaises pour continuer le combat politique des hommes traqués par le pouvoir.

Mais une fois les indépendances obtenues, celles qui ne sont pas allées à l’école sont écartées par les nouvelles élites.

Le recul des femmes en politique et le repli des femmes dans l’espace associatif

Après les indépendances, exclues de l’espace politique, les femmes se sont repliées dans l’espace associatif.

Les premières générations de femmes scolarisées se sont attelées à l’éveil des consciences de leurs sœurs à travers des associations.

L’une des premières militantes, la journaliste Annette Mbaye Derneville, verra son organisation, créée en 1959, dissoute par le président du Conseil chef du gouvernement, Mamadou Dia. Elle va poursuivre son combat à travers des mouvements comme les Soroptimist et les Zonta Club. En 1977, elle finira par créer, avec treize organisations, la Fédération des associations féminines du Sénégal (FAFS) pour mener des actions collectives. La FAFS regroupe aujourd’hui plus de 400 associations.

Quant aux luttes pour les droits civiques, elles ont été portées par l’Association des juristes sénégalaises (AJS), créée en 1974, à la veille de la première Conférence mondiale sur les femmes. Cette association s’est attelée à la vulgarisation des droits.

chaque fois que l’on se trouve face à des situations où un seul député est à élire, ce sont des hommes qui se portent candidats

En 1984, une nouvelle prise de conscience politique s’est amorcée avec l’association Yewu Yewi, qui s’insurge, entre autres, contre les modalités de l’héritage musulman et la polygamie. Elle sera directement ou indirectement à la base de multiples associations luttant pour les droits politiques des femmes qui vont éclore dans les années 1990.

La conférence régionale africaine préparatoire de Pékin, tenue à Dakar en 1994, va sonner le réveil du mouvement social féminin au Sénégal, avec des tentatives de jonctions des luttes des femmes. C’est sur ce sillage, que l’Institut africain de développement (IAD) a mis en place le Conseil sénégalais des femmes (COSEF) qui, en 2007, va fédérer autour de lui un vaste mouvement pour la revendication de la parité. Auparavant, en 1999, la Rencontre africaine des droits de l’homme avait entamé le premier acte de sensibilisation sur la parité.

Les années 2000 ont vu la maturation du processus de citoyenneté qui a conduit différents groupes sociaux, notamment les jeunes et les femmes à se mobiliser pour leurs droits. Principales victimes des crises économiques nées des politiques d’ajustements structurels, se sentant menacées dans leurs conditions d’existence, femmes et jeunes ont mis en place des structures et des mécanismes de construction de liens de solidarité entre leurs membres.

Ce contexte de crise a permis aux femmes de bouleverser l’ordre social en obtenant une loi sur la parité.

De la stratégie de revendication des droits à la stratégie de conquête du pouvoir

Le processus de la loi pour la parité, initié en 2010 par le président de la République Abdoulaye Wade, a duré deux ans. Il a été marqué par d’intenses activités du Caucus, une organisation regroupant les Femmes leaders pour le soutien de la loi sur la parité, qui s’est attelée à la sensibilisation et au plaidoyer pour construire le consensus national, avec des activités de renforcement des capacités des candidates aux élections législatives de 2012, et locales en 2014.

Dès sa mise en place, les initiatrices du Caucus des Femmes leaders ont cherché à construire un consensus autour de l’idée du président de la République : d’abord avec les femmes et ensuite avec les acteurs politiques, avant de lancer une campagne nationale de sensibilisation pour toucher toutes les classes sociales du Sénégal.

Le premier acte du Caucus a été la réalisation, le 5 août 2010, d’un atelier national regroupant des femmes leaders des 14 régions du Sénégal pour leur permettre d’avoir une compréhension commune du contenu de la loi et de s’organiser pour en faire sa promotion à la base.

À toutes, il a été rappelé que le projet de loi sur la parité est le fruit de la lutte de plusieurs générations de femmes, tout en mettant en exergue les qualités ou trajectoires de chacune, justifiant l’attente légitime des femmes pour les accompagner

L’atelier a permis l’élaboration d’un plan d’action prenant en compte la spécificité socioculturelle de chaque localité ainsi que la formulation d’argumentaires, dans le but d’obtenir l’adhésion des populations.

Le Caucus a estimé important de rencontrer les leaders de l’opposition pour expliquer le sens de sa démarche et sa détermination à voir aboutir le processus, tout en restant à distance des partis. À toutes, il a été rappelé que le projet de loi sur la parité est le fruit de la lutte de plusieurs générations de femmes, tout en mettant en exergue les qualités ou trajectoires de chacune, justifiant l’attente légitime des femmes pour les accompagner.

Le Caucus des Femmes leaders a par la suite réalisé une tournée nationale dans toutes les régions du Sénégal, du 5 août 2010 au 7 mai 2011, afin d’expliquer les enjeux et l’intérêt pour les communautés de soutenir la loi sur la parité.

Le Caucus a cherché à élargir la base sociologique des acteur.trice.s impliqué.e.s dans la lutte pour la parité en touchant des acteur.trice.s religieux.ses, des acteur.trice.s culturel.le.s et des organisations populaires. Pour faire face à l’obscurantisme, le Caucus a collaboré au niveau local avec des religieux favorables à la parité, afin de susciter une meilleure adhésion. Des abbés et des imams ont participé à toutes les activités de sensibilisation en développant un argumentaire religieux en faveur de l’égalité de genre.

Les femmes qui ont été portées à l’Assemblée ne semblent pas être prêtes à poursuivre le combat car elles se sentent plus redevables à leurs partis

Au terme du processus de mobilisation pour le vote de la loi sur la parité, les mesures juridiques nécessaires ont été adoptées, permettant une application stricte de la loi.

Toutefois, l’unanimité n’a pas été obtenue.

Le vote de la loi sur la parité a entraîné des réactions parfois violentes de la part d’acteur.trice.s politiques et religieux.ses.

Des limites se sont aussi révélées dans sa mise en œuvre.

En effet, la loi stipule que toute liste doit comporter de manière alternée un sexe suivi de l’autre, mais à chaque fois que l’on se trouve face à des situations où un seul député est à élire, ce sont des hommes qui se portent candidats.

Et parce que dans 11 départements il n’y avait qu’un seul député à élire, le pays s’est retrouvé avec 64 femmes au lieu de 75 sur ses 150 députés.

Les femmes qui ont été portées à l’Assemblée ne semblent pas être prêtes à poursuivre le combat car elles se sentent plus redevables à leurs partis. Entre la fidélité au combat des femmes et la loyauté à leur parti elles ont choisi leur camp.

Pourtant, les femmes ne doivent jamais oublier qu’elles ne sont pas à l’abri de reculs de l’histoire, car l’histoire nous enseigne que les révolutions connaissent des moments de flux et de reflux, et la bataille pour la parité et l’égalité ne sera pas une exception.

Quel est le thème du 8 mars 2024 ?

L’ONU Femmes souhaite porter l’attention de la communauté internationale sur l’enjeu d’ « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme », 

Quel est l’impact de la Journée de la femme actuellement ?

La réalisation de l’égalité des sexes reste le principal défi en matière de droits humains.

Les progrès en faveur des femmes profitent à tous.

Mettre fin à la pauvreté : En raison de la pandémie de COVID et des conflits, 75 millions de personnes supplémentaires sont tombées dans l’extrême pauvreté depuis 2020.

LES FEMMES DE LA CCIATH rejoignent tout le monde en ce jour important pour souhaiter à toutes les femmes une Joyeuse Journée Internationale des Femmes.

Que votre guide de lumière brille toujours et la douceur force tranquille puissent continuer à être de la Fondation qui nous aide à contribuer à un monde meilleur.